Rockyrama (47)
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    C’est l’histoire d’un mec qui tourne en rond dans son vidéo club de Manhattan Beach, et qui rêve… Il
    a beau décortiquer les scènes de ses films préférés, les étudier comme un scientifique obsédé au fin
    fond d’un obscur laboratoire et disséquer chaque plan, il se dit qu’il n’est pas à sa place et qu’il se
    verrait bien migrer un peu plus au nord de Los Angeles, à Hollywood précisément. Ce mec a accompli
    son rêve, avant de devenir tout simplement un peu de chacun d’entre nous. Cet amoureux de
    cinéma, ce cinéphile qui a franchi la frontière, qui est passé dans l’arrière-salle du vidéo club pour
    fabriquer ses propres films, et rendre justice à celles et ceux qui n’ont pu, ne peuvent, ne pourront
    jamais le faire, c’est Quentin Tarantino.

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    C’est l’histoire d’un mec qui tourne en rond dans son vidéo club de Manhattan Beach, et qui rêve… Il
    a beau décortiquer les scènes de ses films préférés, les étudier comme un scientifique obsédé au fin
    fond d’un obscur laboratoire et disséquer chaque plan, il se dit qu’il n’est pas à sa place et qu’il se
    verrait bien migrer un peu plus au nord de Los Angeles, à Hollywood précisément. Ce mec a accompli
    son rêve, avant de devenir tout simplement un peu de chacun d’entre nous. Cet amoureux de
    cinéma, ce cinéphile qui a franchi la frontière, qui est passé dans l’arrière-salle du vidéo club pour
    fabriquer ses propres films, et rendre justice à celles et ceux qui n’ont pu, ne peuvent, ne pourront
    jamais le faire, c’est Quentin Tarantino.

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    À l’occasion de ce 26e numéro, Rockyrama est allé à la rencontre de l’un des plus brillants ambassadeurs du cinéma sud-coréen : le réalisateur Bong Joon-ho. Après The HostSnowpiercer ou Okja, le cinéaste est consacré en 2019 avec ParasiteJeu de massacre domestique sur fond de lutte des classes, Parasite remporte la Palme d’or à l’unanimité. Véritable phénomène, le réalisateur enchaîne les apparitions, des festivals prestigieux aux plateaux des late shows américains, et est désormais l’un des favoris dans la course aux Golden Globes… À travers un dossier et une interview exclusive, Rockyrama revient sur le parcours d’un des cinéastes les plus inspirants de sa génération.

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    En 1999, Matrix marque l’histoire du cinéma pour toujours. Les sœurs Wachowski proposent alors un univers totalement inédit se nourrissant d’une multitudes d’œuvres fondatrices de la science-fiction. Le film remporte un succès colossal, et la trilogie restera l’une des pierres angulaires de la pop culture moderne. Le film est, depuis, apparu dans la liste des plus grands films de science fiction, et, en 2012, entre au National Film Registry. Il est considéré comme l’un des films de science-fiction les plus importants de son époque. Ce nouveau hors-série Rockyrama se propose de revenir, vingt ans plus tard, sur cette gigantesque œuvre et d’en analyser les recoins les plus obscurs…

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    Rockyrama poursuit sa collection Rockyrama Papers avec un quatrième numéro consacré au chef-d’œuvre de Woody Allen qui fête cette année son quarantième anniversaire : Manhattan. Au recto, un grand poster inédit en hommage au film, à ses superbes images d’un New York en Cinémascope et en noir et blanc, à son inoubliable scène aux pieds Queensboro Bridge… Au verso, une interview inédite du coscénariste de Manhattan, Marshall Brickman, à qui l’on doit également le formidable scénario d’Annie Hall, film grâce auquel il remporte l’Oscar du meilleur scénario original en 1980.

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    Dans ce numéro qui fleure bon le video-club et les films bricolés, retrouvez l’empereur Roger Corman pour un entretien sur son parcours, son Hollywood et son cinéma. De Tarantino à Vincent Price, en passant par Jack Arnold et Milicent Patrick, faites un saut dans le temps ! L’occasion de déployer un dossier sauce barbecue, à déguster un samedi soir, entre deux séries B bien saignantes !

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    Le deuxième tome est là !
    Pour retracer la carrière de Steven Spielberg, Rockyrama publiait l’année dernière le premier tome d’une trilogie. Après avoir braqué ses projecteurs sur les débuts du réalisateur le plus connu de l’histoire du cinéma, Rockyrama revient avec un deuxième volume consacré au cinéaste.

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    Été 1989. Un peu partout en France fleurissent des affiches aux dimensions 4×3 avec pour seule inscription un immense logo jaune en forme de chauve-souris. Rien d’autre. Le studio Warner venait de mettre sur pied l’une des plus fameuses campagnes marketing pour un film. La Batmania allait battre son plein. Le film est un carton aux USA, Tim Burton se révèle au (très) grand public, et les kids du monde entier arborent le logo jaune du Dark Knight. Vingt et un ans après le Superman de Richard Donner, les super-héros allaient vivre un nouveau départ sous pavillon Warner. Batman allait s’ancrer profondément dans l’inconscient pop collectif et personne n’allait oublier cet été 1989, celui de Prince, de la Batdance, de Michael Keaton et de Kim Basinger, de Jack Nicholson et du Joker, l’été de la Batmania !

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    40 ans. 40 ans que personne ne nous entend crier dans l’espace. 1979, Ridley Scott, armé d’une
    équipe d’artisans et d’artistes hors pair, s’apprête à lâcher dans les salles du monde entier ce qui va
    devenir un phénomène aussi cinématographique que (pop) culturel.

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    Honneur à la meilleure comédie des années 80, servie par les meilleurs comiques des années 80. Ou quand le Saturday Night Live a décidé de plonger la tête la première dans le fantastique. La grosse pomme n’en est jamais réellement revenue. Nous non plus.